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site de CENTRALISATION, PARTAGES et RELAIS D'INFORMATIONS sur les Indices Glycémiques Bas (IG Bas)
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Juillet 2024 : Suite à la suppression de mon ancien blog sur l'hébergeur HUBSIDE (sans m'en avertir car il semble être en redressement judiciaire), ce nouveau site sur l'hébergeur WIX est en pleine reconstruction. Merci de bien vouloir excuser toutes les imperfections que vous pourrez constater tout au long des différentes pages de ce site, car cela va me prendre du temps de reconstruire toutes les pages et les liens un par un.​​​
QUELS SONT LES FACTEURS D'INFLUENCE
QUI PEUVENT FAIRE VARIER L'IG DES ALIMENTS ?
L’index glycémique d’un même aliment peut varier selon différents facteurs tels que la cuisson, la présence ou non de fibres solubles, le raffinage et les traitements industriels, le degré de mûrissement, le moment d’ingestion de l’aliment dans la journée ou le repas, et la présence d’autres nutriments alors il est essentiel d’en tenir compte dans nos choix nutritionnels tous les jours.
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Le grain d’amidon est constitué de deux types de composants moléculaires : l’amylose et l’amylopectine. Ils peuvent être associés à des lipides, des protéines, des fibres et des micronutriments (vitamines, sels minéraux …).
C’est essentiellement la proportion d’amylose par rapport à l’amylopectine qui détermine la nature physico-chimique des aliments amylacés et leurs effets nutritionnels sur l’organisme humain.
Ce rapport amylose/amylopectine peut-être très différent d’une famille botanique à l’autre mais aussi d’une variété à l’autre à l’intérieur d’une même famille.
Les amidons de céréales contiennent en général, entre 15 et 28% d’amylose.
Les amidons des tubercules (appelés encore fécules), ce qui est le cas de la pomme de terre (mais aussi du maîs), ont une teneur en amylose beaucoup plus faible (de 17% à 22%).
Quant aux amidons de légumineuses (lentilles, haricots secs, pois chiches …), ils sont au contraire beaucoup plus chargés en amylose (de 33 à 66%).
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2/ LA « RÉTROGRADATION » DE L’AMIDON
Il faut savoir que le refroidissement des aliments affecte aussi l’amidon de l’aliment, c’est à dire un retour (plus ou moins important cependant) à la structure moléculaire antérieure. Le phénomène de rétrogradation augmente d’ailleurs avec le temps et avec la diminution de la température.
Par ailleurs il est bon de savoir qu’un amidon rétrogradé qui est réchauffé perd une partie de son pouvoir de gélatinisation. Une fraction (10% environ) de l’amidon rétrogradé devient thermorésistant, ce qui tendrait à montrer que le réchauffage d’un glucide après le stockage au froid, contribuerait à en abaisser l’index glycémique.
Exemple: il est intéressant de savoir que des lentilles vertes froides (a fortiori si elles sont restées 24 heures au frigo) ont un index glycémique encore plus bas que fraîchement cuites (entre 10 et 15). Car plus l’amidon d’origine est riche en amylose, plus le phénomène de rétrogradation est efficace.
Ceci est valable pour le riz, les pommes de terre, les pâtes, les légumineuses, etc .....
Si vous consommez des aliments glucidiques refroidis (pâtes, riz, pommes de terre), vous ralentirez la vidange gastrique car l’amidon ayant subi une « rétrogradation » (modification de l’amidon qui devient plus résistant à la digestion et libère son glucose plus lentement) rendra les actions des enzymes digestives plus difficiles.
Manger froid ces aliments cuits permet d’abaisser l’IG de l’aliment, mais ce n’est pas une solution miracle car il faut aussi les consommer avec d’autres aliments qui vont aider à faire baisser l’IG (voir plus loin le point sur les aliments acides, les fibres, etc…).
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3/ LA « PASTIFICATION » DE L’AMIDON
La « pastification » diminue l’index glycémique. Il existe également un processus technique naturel qui tend à freiner l’hydratation de l’amidon.
C’est le cas de la « pastification » du blé dur : l’extrusion de la pâte à travers une filière entraîne en effet un échauffement qui se traduit par la constitution d’un film protecteur qui contribuera à ralentir la gélatinisation des amidons lors de la cuisson.
Mais ce qui est surtout valable pour les spaghettis ou encore certaines tagliatelles, qui sont précisément « pastifiées », c’est à dire extrudées sous l’effet d’une forte pression, ne l’est ni pour les ravioles, ni pour les lasagnes, ni même pour les pâtes fraîches découpées avec une petite machine à main et dont l’IG est ainsi beaucoup plus élevé, alors qu’elles sont composées de la même farine de blé dur.
A partir d’une même farine, on peut donc aboutir à des produits dont les IG vont du simple au double comme les ravioles (IG 70), et les spaghettis (IG 40).
Mais la cuisson domestique, qui aura lieu juste avant leur consommation, fera encore varier l’index glycémique final (voir plus loin), donc plusieurs facteurs sont à prendre en compte.
Du coup, il est à noter qu’une cuisson al dente des aliments (de 5 à 6mn) permettra de conserver l’IG des spaghettis à son niveau le plus bas, alors qu’une cuisson prolongée de 15 à 20 mn entraînerait une élévation de l’IG du fait de l’accélération de la gélatinisation de l’amidon.
On en déduira donc que la "PASTIFICATION" DIMINUE DONC L’IG DES ALIMENTS.​
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VOIR PLUS LOIN :
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4/ LES DIVERS FACTEURS D'INFLUENCE SUR L’IG D’UN ALIMENT
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5/ LES ALIMENTS QUI CHANGENT D'IG SELON LA FACON DONT ON LES CUISINE
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Mais aussi les images ci-dessous, et la SUITE ICI
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Source de l'image: Les Amidons, un trésor technologique sur BOCKER FRANCE
4/ LES DIVERS FACTEURS D'INFLUENCE SUR L’IG D’UN ALIMENT :
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De nombreux facteurs entrent en jeu pour déterminer l’IG d’un aliment.
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A/ LA CUISSON
La cuisson joue un rôle majeur pour déterminer l’IG d’un aliment. En effet, à la cuisson, l’amidon se gélatinise (gonfle) lorsqu’il est cuit en présence d’eau (gonflement du riz ou des pâtes lors de la cuisson).
L’amidon gélatinisé est plus rapidement transformé en glucose par les sucs digestifs, ce qui augmente la vitesse de la vidange gastrique.
Plus la gélatinisation de l’amidon est importante, plus l’IG est élevé, ce qui explique que des pâtes al dente ont un IG plus faible que des pâtes trop cuites, précuites ou à cuisson rapide.
Même exemple avec les carottes cuites qui ont un IG plus élevé que celui des carottes cuites.
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==) Il faut donc retenir que LA CUISSON AUGMENTE L’IG D’UN ALIMENT, donc plus le temps de cuisson est long et plus l’IG augmente : l'IG des pâtes al dente est inférieur à l'IG des pâtes fondantes.
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PLUS D'INFOS SUR LES MODES DE CUISSONS ICI
B/ LES FIBRES SOLUBLES
La présence de fibres dans l’alimentation est importante car elles ralentissent la digestion des glucides dans le sang.
Les fibres solubles forment un gel dans l’intestin qui ralentit l’absorption du glucose. Plus un aliment est riche en fibres solubles, plus son IG est bas. Elles ont donc la propriété d’absorber de grandes quantités d’eau pour former des solutions épaisses, et freinent aussi bien la montée du glucose dans le sang que la sécrétion d’insuline après un repas.
Par exemple : les graines de chia, le psyllium qui gonflent avec un liquide pour devenir gélatineux. Elles permettent de gonfler également vos préparations culinaires comme les pains, mais attention car elles peuvent également être irritante pour les intestincs.
Les pommes, les lentilles, les pois secs ont aussi un faible indice glycémique et sont riches en fibres.
==) On retiendra donc que LA PRÉSENCE DE FIBRES DANS UN ALIMENT VA RÉDUIRE L’IG DE L’ALIMENT, donc plus il y a de fibre dans un aliment ou dans un plat et plus l’IG du plat diminue : l'IG d'un plat de pâtes avec des légumes est inférieur à l'IG d'un plat de pâtes sans légumes.
PLUS D'INFOS SUR LES FIBRES ICI
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C/ LE RAFFINAGE ET LES TRAITEMENTS INDUSTRIELS
Plus la céréale est moulue finement (et donc industriellement), plus son IG augmente.
Mieux vaut privilégier les céréales complètes encore pourvues de leur enveloppe (ou péricarde) qui contient vitamines et minéraux aux céréales blanches qui élèvent la glycémie.
La notion de « Type » des farines permet de connaître le taux de raffinage de celle-ci : plus il est élevé (type T110, voire T180), plus la farine sera complète et inversement, une farine totalement raffinée (souvent utilisée en pâtisserie) sera de type T55, voire T45 et donc son IG sera élevé.
Le pain blanc aura donc un IG plus élevé que le pain complet (et s’il est au levain, il aura encore un IG moindre à cause de l’acidité apportéee).
L’IG dépend également des différents procédés industriels utilisés : plus les traitements subis par l’aliment sont importants (pétrissage, cuisson, conservation…), plus l’IG sera élevé.
Le mode de préparation influe également sur l’IG : le broyage des aliments (découpe des fibres) rend le passage dans l’estomac plus rapide (voir également plus loin).
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==) On retiendra donc que PLUS UN ALIMENT EST RAFFINÉ, PLUS SON IG EST ÉLEVÉ.
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PLUS D'INFOS SUR LES PRODUITS ULTRA-TRANSFORMÉS ICI
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D/ LE DEGRÉ DE MURISSEMENT ET LE TAUX D’HYDRATATION
Le taux d’hydratation et le degré de mûrissement des végétaux modifient l’IG : plus un aliment est hydraté et/ou mûr, plus son index glycémique est élevé.
La maturation des végétaux avec amidon : Plus l’aliment est mûr plus l’IG augmente.
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La banane verte a un IG 40 qui passe à IG 65 lorsqu’elle est mûre ou cuite, à cause de la gélatinisation de son amidon. Ce phénomène est identique pour la carotte crue (IG 35) et la carotte cuite (IG 85), mais aussi pour les petits pois car l'IG des petits pois frais est inférieur à l'IG des petits pois en boîte.
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==) On retiendra donc que PLUS UN FRUIT EST MUR, PLUS SON IG EST ÉLEVÉ.
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PLUS D'INFOS SUR ___________ ICI
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E/ LA PRÉSENCE D’AUTRES ALIMENTS
La vitesse d’absorption des glucides est influencée par la composition du repas. Il sera d’autant moins hyperglycémiant qu’il contient des lipides et des protéines.
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La COMBINAISON DE GRAISSES ET DE PROTÉINES ralentit significativement le rythme de la digestion du bol alimentaire, et abaisse l’IG global. De IG 45 pour les pâtes al dente, l’IG passe à 39 pour les pâtes à la viande et à 32 pour les pâtes à la crème. La présence de gras et de protéines dans le lait et les légumineuses abaissent leur IG.
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L’ACIDITÉ de certains aliments permet également de ralentir la digestion et l’absorption des aliments comme le vinaigre de cidre, le jus de citron et les fruits acides qui abaissent l’IG des repas, donc plus un aliment est acide et plus son IG est bas.
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Le SUCRE et le SEL des aliments : le sel augmente l’IG et le sucre empêche la gélification des amidons, donc les flocons givrés ont un IG plus bas que les autres.
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La PRÉSENCE de MATIÈRE GRASSE : plus il y a de matière grasse dans un plat et plus l’IG diminue. ATTENTION : l’index glycémique est un indicateur intéressant mais ce n’est pas un critère de choix suffisant. Un aliment peut avoir un IG bas mais être riche en mauvaises graisses et pauvre en nutriments essentiels alors il faut faire attention.
==) il n’y a pas de combinaisons miracles, rien n’est franchement interdit si on veut consommer certains aliments pour ne pas se frustrer mais il faut le faire avec parcimonie, qui doit rester notre principal allier.
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PLUS D'INFOS SUR LES ________ ICI
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F/ LE CONTEXTE DE CONSOMMATION DES ALIMENTS
Selon qu’un aliment est consommé seul ou au cours d’un repas, la variation de la glycémie sera différente (par exemple les crudités sont à consommer en début de repas avec une vinaigrette pour aider encore plus à baisser l’IG de celles-ci, mais également des plats suivants).
Le moment de consommation d’un aliment est également important : le matin à jeun, un repas uniquement à base de glucides (viennoiseries, pain blanc, confiture, etc…) provoquera un pic de glycémie, générant ainsi une sécrétion intense d’insuline.
La nature des glucides : plus il y a de glucose dans un aliment, et plus l’IG augmente : l'IG de l'amidon des féculents est inférieur à l'IG du fructose des Fruits, des Légumes ou du Miel, qui est inférieur à l'IG du lactose des produits laitiers, mais aussi inférieur à l'IG du saccharose (sucre en poudre / sodas), et également inférieur à l'IG du glucose (principalement dans produits industriels).
La texture d'un aliment : plus un aliment est broyé ou mixé et plus l’IG augmente : l'IG de la pomme est inférieur à l'IG de la compote de pomme (on a vu plus haut l'importance de la présence des fibres pour réduire l'IG d'un aliment alors dans le cas de la compote, les fibres sont cassées, donc le sucre passera plus vite dans le sang).
La présence de protéines : plus il y a de protéines dans un aliment et plus l’IG diminue : l'IG des pâtes classique de blé est supérieur à l'IG des pâtes sans gluten de type pâtes aux lentilles corail ou poix chiches.
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PLUS D'INFOS SUR LES ________ ICI
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Sources :
LE RÔLE DE L’AMIDON SUR L’IG: https://blog.fleurancenature.fr/role-amidon-index-glycemique
LES FACTEURS DE MODIFICATION DE L’INDEX GLYCÉMIQUE : https://montignac.com/facteurs-de-modification-de-l-index-glycemique/
et https://nutridietalice.fr/lindex-glycemique/
5 FACTEURS QUI AFFECTENT L’INDICE GLYCÉMIQUE : https://www.selection.ca/sante/diabete/5-facteurs-qui-affectent-l-indice-glycemique/
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POURSUIVRE SUR LE PARAGRAPHE SUIVANT : ​
4/ LES ALIMENTS QUI CHANGENT D'IG SELON LA FACON DONT ON LES CUISINE
Source de l'image :
Les 5 raisons qui font baisser ou augmenter un index glycémique ?
5/ LES ALIMENTS QUI CHANGENT D'IG SELON LA FACON DONT ON LES CUISINE :
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Plutôt purée de pommes de terre ou patates vapeur ? Pasta al dente ou bien cuites ?
Selon la façon dont on cuisine certains aliments, leur index glycémique n’est pas stable et peut varier du simple au double, alors voici un petit tour d’horizon de 5 aliments du quotidien.
Indispensables à une alimentation équilibrée, les glucides nous apportent l'énergie nécessaire pour tenir toute la journée. On le sait, il faut veiller à ne pas en consommer avec excès.
Mais saviez-vous que la durée de cuisson joue aussi un rôle ? Plus un aliment riche en glucides est cuit, plus son index glycémique est élevé.
De l'amidon gélatineux est transformé en sucres bien plus vite.
On le sait, les pâtes, le riz ou encore les gâteaux sont composés d'amidon. La cuisson découpe les molécules d’amidon et les gélatinise. Pour mieux comprendre, il faut imaginer un riz trop cuit, à l’aspect gluant, ou des pâtes oubliées sur le gaz.
Le problème, c’est que l’amidon ainsi gélatinisé est comme prédigéré pour le corps. Conséquence ?
Notre système digestif transforme l’amidon en glucose plus rapidement. Concrètement, on passe donc d’un index glycémique bas (des féculents digérés lentement et qui diffusent des sucres - et donc de l’énergie- tout au long de la journée) à un index glycémique élevé (les féculents sont transformés en sucres et assimilés par le corps beaucoup plus rapidement).
Qui dit cuisson trop longue dit pic glycémique, coup de boost et sucre stocké dans notre corps… suivi d’un coup de barre par manque d’énergie quelques heures plus tard.
Après la gélatinisation, place à la rétrogradation. Derrière ce mot compliqué se cache en fait un procédé tout simple : lorsque l’amidon refroidit, il se reforme dans son état initial (ou presque) comme si de rien n’était. Du coup, plus vous laissez refroidir votre plat, et plus l’IG baisse pour approcher de son niveau de base.
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N°1 : La pomme de terre
Vous pensiez que faire cuire vos pommes de terre à l’eau, à la poêle ou au four n’était qu’une question de goût ? Pas seulement. Le mode de cuisson influence aussi l’index glycémique de la patate. Ainsi, une pomme de terre cuite à l’eau avec sa peau affichera un IG de 65. Ecrasée en purée, l’IG passe à 90. Cuite au four, il monte en flèche à 95… soit quasi le maximum de l’IG. Si vous faites attention à votre alimentation, bannissez la purée de pommes de terre instantanée en flocons, qui a un IG élevé.
Mais, aussi surprenant que cela puisse paraître, la marche arrière est possible. Même si vous avez fait monter en flèche l’IG de l’aliment, il suffit de le laisser refroidir pour que l’amidon qu’il contient se gélatinise de nouveau, ce qui fait baisser l’index glycémique.
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N°2 : Les pâtes
Attention à ne pas trop cuire vos pâtes au risque de vous attirer les foudres des puristes mais aussi des nutritionnistes. Car, en plus de perdre en saveurs et en texture, l’aspect gélatineux des pâtes trop cuites cache un IG élevé.
Une assiette de spaghetti al dente a un IG de 45, donc modéré. Mais si on laisse la casserole sur le feu quelques minutes de plus, l’IG peut grimper jusqu’à 65. Et on ne compte même pas si l’on rajoute une sauce toute prête dans le plat.
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N°3 : Les carottes
Rien de telle qu’une portion de carottes râpées pour faire le plein de vitamines A, B et K. Un repas frais et léger avec un index glycémique de 16. Mais dès que l’on se laisse tenter par des carottes vichy, l’IG devient modéré (47).
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N°4 : Le riz
Vous vous êtes toujours demandé quelle était la différence entre un riz rond, un riz basmati et un riz à cuisson rapide ? Au-delà de son utilisation et son mode de cuisson, l’autre différence majeure est l’IG. Si le basmati et la cuisson pilaf ont un IG moyen, la cuisson rapide ou le riz rond à risotto provoquent un pic glycémique bien plus vite.
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N°5 : Les bananes
Vous ne le saviez peut-être pas, mais vos bananes évoluent. Oui oui : entre le jour où vous les avez achetées et le jour où vous les consommées, vos bananes ont mûri. Elles deviennent plus molles et l'amidon est moins résistant. Mais pas que. L’index glycémique des bananes augmente avec leur maturité. Une banane verte a un IG bas (40) alors qu’une banane bien mûre a un IG de 65.
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Source :
CES ALIMENTS QUI CHANGENT D’IG SELON LA FAÇON DONT ON LES CUISINE
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LISEZ ÉGALEMENT LES ARTICLES SUIVANTS POUR PLUS DE DÉTAILS :
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COMMENT DIMINUER L’IG DES FÉCULENTS : https://www.lalibre.be/lifestyle/food/2015/03/12/comment-diminuer-lindex-glycemique-des-feculents-CDVBIG4MOFAVHLMRHEDUBNPRAU/
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MANGER DES PÂTES SANS GROSSIR (une vidéo de Marie-Laure André, spécialiste IG Bas) : https://youtu.be/s_GSET8xLgs
-
ASTUCES POUR REMPLACER LA POMME DE TERRE : https://www.facebook.com/112666361077419/posts/166493149028073/
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